Redshirts

RedshirtsQuatrième de couverture :

Année 2460. L’enseigne Andrew Dahl vient d’être affecté à bord de l’Intrépide, le prestigieux vaisseau amiral de l’Union universelle. Génial !
Pas tout à fait. Les jeunes recrues de l’équipage ne tardent pas à s’en apercevoir, les sans-grade comme eux ont une fâcheuse propension à trouver une mort spectaculaire au cours des missions d’exploration alors que leurs supérieurs – le commandant, le premier officier scientifique et l’héroïque lieutenant Kerensky – s’en tirent toujours à bon compte. Il faut bien l’admettre : les “redshirts” sont éminemment périssables.
Compris. S’ils tiennent à survivre en dépit de la couleur de leur tenue, Andrew et ses compagnons sont condamnés à résoudre le mystère et à trouver une parade.

Evidemment, c’est un énorme clin d’oeil à la série Star Trek. Je ne dirais pas que si vous ne connaissez pas inutile de lire ce roman, mais il y a quand même beaucoup de références qui en font un vrai régal pour les fans de la série. Ce roman fonctionne également sur le principe de la mise en abîme, on y retrouve le même esprit que la série des Thursday Next, l’héroïne de Jasper Fforde (à quand le prochain tome Monsieur Fforde ???).

Un très bon moment de lecture. Et au passage , un très joli objet (illustration Leraf).

 

Redshirts, au mépris du danger, John Scalzi, 2012, éd. L’atalante.

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *