– L’arrivée –
Arrivée jeudi soir vers 21h30. On ne voulait pas s’embêter à chercher les navettes en car ou le train, donc on a pris un taxi. Pour le trajet Fuimicino-centre de Rome, il y a un forfait de 48€. Le trajet en voiture, çà met dans l’ambiance. Comme je l’ai déjà dit, c’est un peu n’importe nawak la conduite des italiens.
Personnellement, j’aime bien les arrivées de nuit, çà donne une atmosphère particulière (C’est beau une ville la nuit…).
Notre hôtel se trouve à 10 minutes à pied de la Gare Termini. Superbe hôtel, je recommande. Hotel Canada, rue Vicenza. Style un peu rococco mais çà met dans l’ambiance ! Cet hôtel a un ascenseur d’origine (1870), à l’ancienne avec les portes qu’il faut fermer manuellement et tout, très joli. J’ai raté mes photos, donc vous n’avez plus qu’à aller voir 🙂 Le buffet est bien garni , cela nous a permis de ne pas forcément manger le midi (bon moi je suis hyper gourmande, donc faim ou pas , je peux manger et goûter l’excellente cuisine locale). Les petits plus appréciable : room service gratuit, le bar pas cher, les accessoires fournis (brosse à dents, chaussons, rasoir etc) et le prêt de parapluie ! Le personnel parle français, c’est appréciable pour moi qui ne parle aucune langue étrangère, même l’anglais !
– 1er jour –
Sous un beau soleil et une température un peu fraîche mais correcte (rappelez-vous : stratégie oignon), nous nous sommes dirigés à pied vers la Piazza Republica.
Au passage, petit arrêt pour rentrer dans l’église Santa Maria degli Angeli. Là j’ai vu un truc marrant comme tout : les cierges automatiques. On met une pièce et une ampoule s’allume. Bon en fait, je suis pas sûre que ce soit marrant : c’est la fin des sacristains (ou des bedeaux, je ne suis pas très calée sur la vie de l’église) !
La Piazza Republica nous a permis de confirmer ce qu’on avait pressenti : la circulation à
Rome c’est sauvage. Çà a confirmé aussi le côté grandiose des façades romaines. Le moindre immeuble là-bas est travaillé (en tout cas dans le centre historique).
Ensuite on s’est engouffré das le métro pour une station (je précise quand même que je sortais d’une double entorse, donc j’ai essayé de me ménager. En plus, on avait “rendez-vous” au Vatican à 12h30, d’où l’usage du métro sur cette matinée…). De la station Barberini, on a rejoint à pied la fontaine de Trévi. Alors là ce qui m’a le plus marqué, c’est le monde !!! Sur une toute petite place, il y avait sans doute plusieurs centaines de personnes, c’est presque difficile de voir la fontaine !
On a repris à pied pour rejoindre la Trinità dei Monti. Un GRAND escalier, que quand tu arrives en haut tu te dis “Et m… j’ai oublié mes poumons en bas !!!”, sans compter que tes cuisses et tes mollets ne te disent pas merci – oui bon je sais, j’ai pas une excellente condition physique et un ou deux kilos en moins serait pas du luxe, c’est pas la peine d’être désagréable… – Par contre tu profite du paysage ! Rome c’est bien la ville des 7 collines, y’a pas à tortiller.
Ensuite, retour au métro et on a rejoint le Vatican. Alors là, n’hésitez pas : réservez vos billets sur Internet sur le site officiel. Vous aurez la joie de prendre la file de droite et de passer devant tous ceux qui ne l’ont pas fait. Du coup vous vous retrouvez directement dans le hall, et il vous faut passer la douane : et oui, on est bien dans un Etat à part. Vous pouvez alors récupérer votre billet. Je vous conseille de prendre un bon guide ou un audio-guide. Nous n’avions ni l’un ni l’autre et je l’ai regretté : il y a tellement de choses qu’au bout d’un moment on ne sait plus où regarder. Pour la photo, j’en ai pris trop, je savais pas laquelle mettre ! Je vous laisse donc une vue d’ensemble.
Cela reflète d’ailleurs un peu l’impression général quand on sort de là : il y a presque trop à voir, et le flux constant a un peu tendance à vous pousser à visiter au pas de course… On sort de là en pensant plus à ses pieds qu’à tout ce qu’on a vu. Çà méritera une seconde visite 🙂